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Mon coeur a mal
Mon coeur me fait mal
Je ne sais plus quoi faire
Je sais juste que je t'aime
Je sais que c'est incensé
Et je sais que c'est idiot
Mais je t'aime
Et ca, je ne peux rien y changer

Excuse moi...

Depuis l'âge de seize ans j'ai compris que j'étais tombé amoureux de mon propre père
Je me dégoute moi même
Mais j'ai mal
Cet amour me fait mal
Je ne sais pas si je dois te le dire
Je ne sais pas si je dois rester dans le silence

Pardone moi...

Je descend les marches
Tu es là, habillé dans ton beau costar bleu marine
Avec ta chaine en argent où y est inscrit ton nom
Tes cheuveux brun courts mais si soyeux
Tes yeux si bleu, si profond
Ta bouche si fine, si appétissante
Tu lis ton journal
Avec une tasse de café à la main
Si tu savais comme j'aime te regarder
Si tu savais comme je t'aime

Accorde moi ton pardon...

Je m'avance pret de toi et tu me souris
Je te rend se sourire
Et là tu te lèves pour aller embrasser maman
Mon coeur se serre une fois de plus
Je me fais souffrire moi même
Mais je n'y peut rien, je t'aime

Milles pardon...

Tu me regardes en me souriant
Arrête de sourire je t'en pris
Tu prends les clefs de ta voiture et tu parts pour une longue journée de travail
Moi je part au lycée rejoindre mon meilleur ami.
Et aujourdh'ui, je ne cesserais de penser à toi.
Car je t'aime et car je veux rester à tes côtés à jamais.
Mais cela est impossible
Et j'en suis conscient.

Pardon...

Le soir, tu rentres
Exténué
Tu montes les escaliers
Je sais ce que tu vas faire
Tu fais toujours la même chose lorsque tu rentres d'une longue journée de travail
Tu vas aller t'allonger quelque temps pour décomprésser
Je te suis
Mon coeur s'accelerent
Je ne peux plus réfléchir
Mon coeur fait ce qui lui plait
Mon corps fait ce qui lui plait
Mon amour fait ce qui lui plait

Excuse moi encore une fois...

Tu fermes la porte de ta chambre
Mais ma main l'en empêche
Tu arque un sourcil en me voyant derrière celle ci

Je suis désolé...

Je te pousses sur le lit et t'embrasses comme jamais
Tu répond à mon baiser
Et nos mains parcourrent nos corps
Des tâts de frissons m'envahissent
Une chaleur étrange s'empare de mon corps
Nos bouchent se détachent
Tu me regardes, mais je n'arrive pas à percevoir le fond de ta pensée

Pardonne moi...

Tu reprends ma bouche avidement
Nos langues se touchent, se caressent, se taquinent
Et ta main entre dans mon boxer
Je gémis contre ta bouche et tu accentu tes mouvements
En un dernier râle de plaisir je joui en ta main et tu retires celle ci.
Ton regard est serieux
Tu m'embrasse à nouveau et tu te positionnes sur moi
Si tu savais comme je t'aimes
Tu plonge ton regard dans le mien
Et me murmure
"Je ne peux t'offrire qu'une nuit"

Je suis désolé

Nous sommes nus, l'un sur l'autre
Je rougis en voyant ta virilité.
Tu me souris en posant ta main contre ma joue
Je suis heureux même si ce bonheur s'éteindra trop vite
Tu soulèves mes cuisses et me pénetre
J'ai mal, mais je suis heureux
La douleur passée le plaisir s'affirme
Je souris de plaisir
Tu plonges tes yeux dans les miens
Je t'aime, mais ca, je ne te le dirais jamais.
Car je sais que tu vas regretter ce qu'on est en train de faire.

Excuse moi... Pardonne moi...

Nous atteignons l'orgasme en même temps
Notre plaisir ne se calcule pas
Tu te laisse tomber sur moi
Et tu reprend ma bouche
Tendrement
Peut-être amoureusement?
...
Nos souffles sont sacadés
Tu caresses mon tors
Et moi ton dos
Tu relève ta tête
Et me dit doucement
"Je t'aime"

Oh mon amour, je suis désolé

Je ne peux plus supporter cet amour
C'est trop dur
Trop dur pour nous deux

Je m'excuse...

Je prend alors le revolver
Dans la table de nuit
Je le pointe sur toi

Pardonne moi...

Tu me regardes, appeuré
Mes larmes coulent le long de mes joues
Mes mains tremblent.
Mais je dois le faire.
Pour nous deux.

Excuse moi...

Je vise ton coeur
Et j'appui
Tu tombes au sol
Ton sang coulent
Ainsi que mes larmes
Je m'approche de toi
Et je pointe l'arme sur ma tempe.
Je ferme les yeux
Et appui....

" Nous sommes ensemble pour l'éternité "
Lun 1 sep 2008 Aucun commentaire