Ma main se pose sur la tienne et tu me regardes. Je te souris et tu me sourit. Je m'approche tu recule. Pourquoi refuses tu de m'embrasser? Tu me répond que ta femme va bientôt arriver de son travail. Tu évites encore la question. On aura fait l'amour à trois reprises. Tu criais mon nom, tu en redemandais, encore et encore. Et à présent qu nos ébats son finis tu redeviens distant et tu enlèves ta main de la mienne.


Je me lève de ce lit, ce lit ou tu dors tous les soirs avec elle. Elle qui est ta femme. Mais moi je t'aime et tu me fait du mal sans t'en appercevoir. Tu me regardes,un air triste annime ton regard, j'ai envie de te serrer dans mes bras mais tu ne voudras pas, je ne peux même pas t'embrasser. Poser mes lèvres sur les tiennes. Je te reposes alors, à nouveau la question. Tu baisses la tête, et je ne te comprend pas. Tu la relève avant de descendre de ce lit et de prendre ma main. Mon coeur bat à toute vitesse. Vas tu m'embrasser? Bien sur que non, tu vas me dire encore quelque chose qui va augmenter ma peine. Tes lèvres s'ouvre et je peux entendre le son de voix me dire que tu m'aimes et que adoreras m'embrasser mais que tu ne peux pas, car embrasser c'est l'amour, et cela veux dire que je ne pourrais plus me passer du gout de tes lèvres, que c'est comme une drogue et que je risquerais d'en mourrire si jamais je suis en manque. J'asquiece, tu m'as dit je t'aime. Ma peine baisser d'un coup et je me sens plus serein. Tu me dit de me depêcher car ta femme va arriver alors je file, le regard troublé par mes larmes. Je suis déjà accro à toi, alors un simple baiser ne va pas agraver grand chose. Ta peau me manque déjà, ton sourrire, tes carresses, toi même. Tu me manques. La drogue s'est déjà emprise de moi et je risque de mourire si tu ne fait rien. Te demander de la quitter sera lache de ma part, je sais que tu l'aimes aussi, mais d'une autre manière et que tu n'as aucune envie de lui briser le coeur. Mais je veux juste sentir tes lèvres sur les miennes, savoir le gout de ta bouche, savoir comment tu m'aimes... Je veux pouvoir t'aimer librement, je n'aurais jamais du accepeter, ce soir là.


Je m'en souviens comme si c'était hier, j'étais seul dans mon coin, dans ce chic restaurent. Là ou mon père venait de m'annoncer qu'il me coupait les vivre car je n'étais plus rien pour lui, juste un homosexuel. Mon père est trés peu ouvert d'esprit. Et toi, beau serveur comme tu es, est venu me demander si j'allais bien. Vaguement j'ai répondu oui. Tu ne m'as ps cru. Ta perspicasité m'a toujours surpris. Tu t'es assis pendant ta pause avec moi et on a discuter. De choses et d'autres. J'ai appris que toi aussi tu était gay sauf que tes parents l'avait accepter, durement mais il t'aimes toujours. Les miens non. Ensuite tu m'as demander si j'était libre aprés, je sentais tout de suite ma bonne consciene me dire non il est marié. Mais j'ai dit oui. Et on s'est revu aprés, tu n'avais plus ton habit de serveur, tu était beau comme in dieu. J'aurais cru voir un ange devant moi avec tes cheuveux blonds, ton regard doux, tes yeux d'un bleu océan et tes lèvres si fines. Que je ne peux même pas gouter aujourd'hui... Et c'est la que tout à commencer. Tu m'as plaqué contre le mur évitant de m'abrasser, descendu tes lèves jusque dans mon coup, le parsement de baiser chaux et humides à la fois. Tes mains parcourent mon corps et descendent jusqu'à mon entre jambe qui durcit au fur et à mesure de tes caresses que j'aprécie malgrés moi. Je sens ton souffle s'acceleret et ta main pénetre dans mon boxer et là tu masturbe mon sexe, abil... Je joui dans ta main, tu me souris et me demande qu'est ce que je fait demain. Je te répond que je suis tout à toi.


Les journées défilent et aujourdh'ui j'ai prit la décision de t'embrasser, tant pis si je le regretterais aprés. Je t'aime et je veux savoir quel gout ont tes lèvres. Commes tous les aprés midi je te rejoins, sauf que là, tu sais ce que je vais faire et tu affiches un regard de peur, je te plaque contre le mur, comme à notre rencontre sauf que moi... Je n'évite pas de t'embrasser. J'enfoui ma langue au fond de ta bouche et joue avec la tienne tendrement. Je caresse tes lèvres et un gou salé s'empare de mes lèvres. J'arrête notre baiser, tu pleurs. Et c'est de ma faute. Je panique, tu n'arrêtes pas de pleurer, que dois je faire?
Je regarde tout autour de moi, cherchant quelque chose pour te calmer. Et là... Mon regard se pose sur des tonnes de médicaments... Je te regarde, effayé. As tu fait ca??? Tu pleur de plus bel et je te prend dans mes bras. Pourquoi? Tu me répond car tu m'aimes trop et que c'était impossible de l'avouer à ta femme alors tu as choisis la facilié. Sauf que tu n'as pas pensé à moi...